Afeas région Centre-du-Québec

« Féminisme et enjeux intergénérationnels »

Prenez note que nous sommes présents au bureau pour vous

à tous les mardis et jeudis de 9 h 30 à 16 h sur rendez-vous seulement. 

Vous pouvez communiquer avec nous par courriel au : info@afeascentreduquebec.ca !

Un MERCI à nos généreux

 partenaires 2024-2025!

Nous vous attendons nombreuses à

 chacune de nos activités!








Afeas St-Charles-de-Drummond
             Afeas Victoriaville

La force de l'égalité

Si vous n'êtes toujours pas branchée à l'interaction au sein de l'Afeas région Centre-du-Québec, il n'est pas trop tard pour le faire! Vous n'avez qu'à cliquer le lien ci-desssous « Je m'inscris à l'infolettre! »

“Tant qu'une seule femme sur la planète subira les effets du sexisme,

la lutte des femmes sera légitime et le féminisme nécessaire.”

- Thérèse Casgrain. 1896 - 1981 -

Réformiste, féministe.

Femme politique et sénatrice québécoise

L'Association féminine en Éducation et action sociale (Afeas), c'est...

8 000 membres en action à travers le Québec au niveau local, régional et provincial

Une histoire pour l'égalité!

L'Afeas est un organisme de défense des droits des femmes, pour le progrès social et durable, qui travaille à l'évolution de l'égalité entre les femmes et les hommes.

Égalité, où en sommes-nous?

Égalité et parité, couples en union de fait, conciliation famille-travail-étude et analyse différenciée selon le sexe...


Mission et orientations

L'Afeas pratique un féminisme social égalitaire, qui vise l'obtention d'une identité propre, d'un statut égal, d'une liberté de choix et d'une autonomie pour les femmes, en rupture avec les inégalités persistantes dans notre société.

à propos de nous

L'Afeas...

la force du nombre!

Depuis sa fondation en 1966, il semble que l'Afeas n'a pas ménagé ses efforts pour mettre de l'avant le travail invisible et tenter de le faire reconnaître comme un travail méritant considération et rémunération.


Bien avant d'y consacrer une journée par année, les membres de l'Afeas se démènent pour faire avancé ce dossier.


Déjà en 1968, L'Afeas présente le rôle de la femme au foyer et son apport à la société. Puis, de 1974 à 1980, elle s'attaque à la problématique des femmes collaboratrices en entreprise familiale.

Les années passent et en 1983, les membres adoptent plusieurs recommandations visant l'obtention d'un statut légal pour la « travailleuse au foyer ». Ces recommandations découlent d'une recherche menée auprès de 693 femmes ménagères (non membre de l'Afeas) qui ont répondu à 61 questions sur leurs responsabilités et leurs aspirations.


En 1985, à la conférence internationale sur la situation de la femme, l'Afeas fait valoir ses positions auprès des déléguées de divers pays représentés. Et le travail de l'Afeas se poursuit avec l'actualisation de ses positions sur le travail invisible en 1992.

Et maintenant

Pour l'Afeas

Il faut continuer à réclamer la reconnaissance politique, sociale et économique du travail invisible. À son avis, le travail salarié à l'extérieur du foyer n'est pas l'unique voie d'émancipation pour les femmes. Selon Louise Toupin, chercheure dans ce dossier, les femmes n'ont pas besoin de plus de travail, elles ont besoins de plus d'argent. Cette réflexion rejoint celle de l'Afeas qui croit que la reconnaissance du travail invisible aidera les femmes à sortir de la pauvreté.

 Il y a urgence d'agir. Les gouvernements du Québec comme celui du Canada doivent prendre en compte que les parents et les personnes proches aidantes ont besoin d'aide, et ce, maintenant!

Nous aimerions entendre ce qui compte pour vous.

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